Galerie XIII-X / Paris / 2017
Acrylique sur papier (35 cm x 50 cm)
Au Japon, on raconte que les yokaï hantent les objets de la maison et contaminent insidieusement la vie quotidienne, juste pour rire ou pour la transformer en cauchemar. Depuis Fukushima, la nature impalpable et invisible de la radioactivité réveille des superstitions peuplées de visions surnaturelles. Le recours au mythe est toujours une tentative poétique de palier à l’incompréhension et à l’impuissance de l’humain face à la mort.